La politique de rémunération du Président du Conseil d'Administration est inchangée par rapport à celle approuvée par l'Assemblée Générale du 3 mai 2023.
Ainsi, M. Benoît Potier recevra une rémunération fixe annuelle de 800 000 euros, à l'exclusion de toute rémunération variable et long terme (LTI notamment) et de toute rémunération exceptionnelle.
Il ne recevra pas de rémunération additionnelle en sa qualité d'Administrateur.
M. Benoît Potier disposera par ailleurs d'une voiture de fonction et bénéficiera des régimes de prévoyance (assurance décès uniquement) couvrant l'ensemble du personnel ainsi que les mandataires sociaux dûment autorisés à en bénéficier.
La politique de rémunération des Administrateurs, inchangée par rapport à la politique 2023, vise à déterminer, dans le cadre de l'enveloppe globale votée par l'Assemblée Générale Ordinaire, une rémunération compétitive sur le plan international, afin de bénéficier des compétences et expertises les meilleures et les plus adaptées, dans le respect de la politique de diversité du Conseil.
Cette politique permet de promouvoir l'assiduité et la participation effective des Administrateurs aux travaux du Conseil et des Comités, ce qui favorise notamment le dialogue entre les Administrateurs et l'équipe dirigeante.
À ce jour, l'enveloppe annuelle maximale globale de rémunération des Administrateurs s'élève à 1,3 million d'euros par exercice, conformément à la 12e résolution de l'Assemblée Générale Mixte du 5 mai 2020. Le Conseil d'Administration, sur recommandation du Comité des rémunérations, a décidé de soumettre à l'Assemblée Générale du 30 avril 2024 un projet de résolution visant à porter ce montant maximum à 1,5 million d'euros par exercice à partir de 2024. L'augmentation proposée tient compte notamment de la nouvelle composition du Conseil d'Administration lequel comprend désormais, depuis les nominations récentes approuvées par l'Assemblée Générale du 3 mai 2023, quatorze membres dont douze nommés par l'Assemblée Générale et du contexte réglementaire évolutif nécessitant un nombre accru de réunions du Conseil d'Administration et/ou de certains Comités (voir la 14ᵉ résolution proposée à l'Assemblée Générale).