L’intégralité de la politique de rémunération applicable aux mandataires sociaux peut être consultée dans le Document d’Enregistrement Universel 2024 en pages 172 à 180. Cette politique s’inscrit dans ses principes et sa structure dans la continuité de celle approuvée par l’Assemblée Générale du 30 avril 2024.
La politique de rémunération des dirigeants mandataires sociaux soumise à l’approbation de l’Assemblée Générale se décompose comme suit :
Dans la continuité des pratiques du Groupe, la politique de rémunération des dirigeants mandataires sociaux exécutifs prévoit un équilibre proportionné entre les trois éléments de la rémunération annuelle totale (la part fixe, la part variable et les éléments de motivation à long terme (ou « LTI »)).
La part fixe représente environ 25 %, la part variable environ 35 % et les LTI environ 40 % de la rémunération annuelle totale cible, les éléments soumis à conditions de performance représentant donc en principe environ 75 % de cet ensemble à la cible.
La part fixe est déterminée en tenant compte du niveau de responsabilités, de l’expérience dans la fonction de Direction et des pratiques de marché.
Les principes applicables à la part variable annuelle sont inchangés :
(i) un critère de progression du bénéfice net récurrent hors change par action (« BNPA récurrent ») qui permet de prendre en compte tous les éléments du compte de résultat et (ii) un critère de croissance comparable du chiffre d’affaires consolidé qui traduit quant à lui le dynamisme de l’activité.
Sous réserve de l’approbation de la 19e résolution par l’Assemblée Générale des Actionnaires du 6 mai 2025, afin de renforcer l’attractivité des plans d’attribution d’actions de performance auprès des collaborateurs (bénéficiaires), notamment à l’international, et d’en simplifier la gestion, les règlements « France » et « Monde » seront refondus, à compter de 2025, dans un seul plan, assorti d’une période d’acquisition minimale de trois ans, sans période de conservation minimale. Les options de souscription sont en principe soumises à une période de blocage de quatre ans, suivie d’une période d’exercice de six ans. À cela s’ajoute une condition de présence qui prévoit la perte des options/des droits aux actions de performance en phase d’acquisition, en cas de démission ou de révocation du mandat pour motif grave.
Les attributions de LTI pour l’exercice 2025 :
Les dirigeants mandataires sociaux exécutifs bénéficient par ailleurs d’autres bénéfices attachés à l’exercice de leur mandat (v. infra).